Gérard Quesney

Gérard Queney

Peintre Post impressionniste

Huiles et encres

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 Atelier : 306, chemin du Maraval

27670 Le Bosc Roger en Roumois

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                      Critiques d'art : André RUELLAN - Luis PORQUET

(Cliquez sur le nom du critique que vous souhaitez consulter)

 

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Peintre post impressionniste, né en 1945.

Membre des Artistes peintres français.

Sociétaires des artistes Boucles de Seine Elbeuf

Adhérent Maison des Artistes

Formation Artistique








Expositions

1982-1985 
Autodidacte
1985 - 1988
Cours enseignés par Lionel OUINE à Elbeuf puis à Rouen.
1988-1989
Cours aux beaux arts de Rouen
1997
Donne  des cours de peinture
2000 
ouverture de mon atelier à La Bouille

Galerie Les Arts - Versailles
Galerie St Georges à Limoges
Galerie Noir à Châtellerault
Galerie du Vieux Marché à Rouen
Galerie Arte aux Andelys
Galerie Le grenier a sel de La Bouille
Galerie Sautreuil à St Wandrille

Société des régattes du Havre

 

Collections particulières
USA - Angleterre - Espagne - Allemagne - Suisse - Belgique
 
Prix obtenus
 
2010 :  2ème prix à Cabourg

2009 :  2ème prix à Dieppe
2008 :  1er prix à Conches
            2ème prix à Duclair
2007 :  2ème prix à Dreux

2006 :  2ème prix à Orbec
2005 :  1er prix à La Bouille
            Médaille d'or du mérite et du dévouement (section  art)
2004 :  2ème prix à Blangy le Chateau,
            2ème prix à Dreux
2003 :  2ème prix à Pont audemer
          2ème prix à Cormeilles
2002 :  2ème prix à Buchy
2001 :  Médaille d'argent des arts et des lettres
2000 :  Prix Dendeville - Salon d'Elbeuf
         Médaille du mérite et du dévouement français

1999 :  1er prix à Arras
1998 :  1er prix à Vasceuil
1997 :  1er prix de l'éveil de Bernay
1996 :  2ème prix à Limoges
1995 :  1er prix du public à Bihorel
1994 :  Mention à Vasceuil
1993 :  1er prix aux Andelys

1992 :  1er prix à Bernay
1991 :  1er prix à Martot
1990 :  1er prix à Bihorel
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Critique d'art d'André RUELLAN

 Heureusement pour nous, il existe plusieurs natures de peintres. Ceux qui accèdent à l’art grâce à l’enseignement, au talent, à la volonté. Puis aussi, ceux qui, au fond d’eux-mêmes, admirent et envient des êtres d’exception, et d’emblée décident de succomber à cette attirance, et échangent mutuellement leurs espoirs, tout en découvrant leur vraie nature.

Il en est, de ces derniers, Gérard QUESNEY, lui qui eut la vaillance de recevoir les conseils d’un prédécesseur aussi enthousiaste que lui, en la personne regretté de Lionel OUINE, et de se lier aussi à une vaillante cohorte autodidacte qui régénère passionnément le post-impressionnisme normand.

Avec Gérard QUESNEY, pas de faux semblant : la réalité existe et l’entoure, et il possède le précieux don de la peindre et de la transmettre en une manière cordiale, simple et digne, bien à l’image de sa personnalité.

Remarquez bien ses peintures : son pinceau fait corps totalement avec les motifs, pittoresques ou saisonniers. Sa touche est inspirée des reflets, des couleurs, des effets de lumière que saisit son regard, dont il sait si sincèrement transmettre l’authenticité et même la hardiesse.

 Quiétude urbaine, rurale ou portuaire constituent pour Gérard QUESNEY une inlassable source d’inspiration, sans oublier ses belles compositions florales, sa recherche limpide des marines et même ses témoignages qui font activer une réalité bien reçue et infiniment conquérante.

 André RUELLAN, critique d’art

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Critique d'art de Luis PORQUET

Dans le sillage de ceux qui, depuis les impressionnistes, ont glané sur les rives de la Seine d'inépuisables thèmes d'inspiration, Gérard Quesney aime à peindre sur le motif. Posant son chevalet partout où l'émotion le suscite, où la lumière avive les nuances de la fougueuse campagne normande, des ors brasillants de l'automne à la fraîcheur mélancolique de nos petits matins brumeux. Car rien n'est plus changeant que le ciel de notre terroir.

L'abondance de sa production dissimule quelquefois des pages inattendues comme ces pommiers en fleurs poussant sur les roches d'Orival ou ces champs de tournesols vendéens, craquants de sève et d'optimiste, sans oublier les mauves du jour naissant dans les parages du PRE AU LOUP, si cher au coeur de nos aînés. Des Andelys au Marais Vernier, des quais de Rouen à Honfleur, des champs de lin frémissants aux majestueuses murailles d'albâtre, il promène son regard toujours prêt à s'émerveiller, nous rappelant au passage qu'il fut un temps l'élève de Ouine.

Pour cet autodidacte qui, il y a une vingtaine d'années, s'aventura à esquisser ses tous premiers tableaux à l'huile, l'amitié fait aussi partie des choses tout à fait essentielles. Il s'incline volontiers devant le talent des autres et sait visiblement faire preuve d'humilité. Amoureux de la Normandie, Gérard Quesney, comme nombre de ses pairs, ne néglige jamais les voyages, grands pourvoyeurs de découvertes, de fulgurances et de coups de coeurs. La presqu'île de Saint-Cado et les abords du Lubéron nous en donnent un vif aperçu, nous faisant oublier les humides rivages séquaniens qu'aimait à contempler Malot, mais le désir du voyageur reste partout le même. Peindre n'est qu'une manière d'apprivoiser l'instant et d'en dilater la durée. Peindre n'est qu'une manière d'apprendre à mieux saluer la vie.

Luis Porquet, critique d’art

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